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Web 2050 ... révolution régressive

Web 2100 : révolution régressive ?

De quoi sera fait le web demain ? Comment interagira-t-on avec celui-ci ? Quels changements sociaux, techniques, politiques même, aura-t-il engendrés ? Bref, le web de demain - que je surnomme 2100 - aura-t-il des effets positifs ou négatifs sur notre civilisation ?

1) Web 2100 : pourquoi ce nom ?
Web 2100 en référence à l'année 2100. Pourquoi cette année 2100 ? Pourquoi pas avant ou après ? Tout simplement car il faut bien fixer une date. Ce n'est pas une prophétie : je dis 2100 comme je pourrais dire 2050 (ce qui me semble d'ailleurs plus vraisemblable tant l'évolution technologique est rapide) ...
Web 2100, ça fait aussi penser au fameux numéro à la mode qu'on donne actuellement après le fabuleux mot "Web" ... Oui, après le web 2.0, le web 3.0, le web 4.0 (j'en avais déjà parlé ici), ou encore le web 5, web 6, web 10 etc... (y en a beaucoup d'idioties sur Internet ...), on va arriver rapidement au web 2100, ce web aux caractéristiques exceptionnelles. Tellement exceptionnel ce web 2100 qu'il en serait plus évolué qu'un homme ?

2) Evolution technologique et évolution sociale : des idées d'avance, mais des trains en retard
On ne peut pas considérer l'évolution du web sans l'évolution du monde, de notre Terre. Je pourrais parler de l'éventualité d'un monde extra-terrestre avec des personnalités plus évoluées que nous ... mais cela complexifierait d'autant plus mon propos.
Partons donc du postulat que nous sommes la civilisation la plus évoluée de l'univers et qu'aucune intelligence extra-terrestre ne viendra interférer dans nos affaires sur notre fabuleuse planète.

Evolution technologique et évolution sociale : pas de parallèle ?
Comme on peut le constater, l'évolution technologique (et plus particulièrement celle du web) est largement plus rapide que l'évolution sociale. Preuves en sont les problèmes de droit d'auteur, le téléchargement illégal, les sites illégaux, l'affaire des casinos en ligne interdits en France et pourtant accessibles -heureusement d'ailleurs pour la liberté de l'information-, etc. Bref, le web n'est pas sans poser de multiples problèmes tant il révolutionne les politiques mondiales.
Existe-t-il une équation qui témoignerait de cette croissance technologique au regard de l'évolution sociale ? Oui répondront les défenseurs du "destin", non répondront ceux qui militent plus pour le "hasard". Mais passons ce débat philosophique pour en revenir à nos moutons, difficiles à compter d'ailleurs comme on vient de le voir.

L'évolution technologique toujours en avance sur l'évolution sociale ?
La question qu'il convient de se poser si l'on veut tenter de faire des prédictions les plus réalistes possibles au regard des connaissances actuelles, est celle-ci : l'évolution technologique aura-t-elle toujours un train, ou plutôt une fusée d'avance sur l'évolution sociale ? Je parie que oui. En effet, dès que l'innovation technologique arrive, la société doit s'adapter. On peut prendre l'exemple du web, mais on me reprochera de ne pas prendre assez de recul. Je vais prendre l'exemple des voitures : la réglementation ne cesse d'évoluer tant les possibilités offertes par les véhicules dépassent celles prévues par la loi ... Ou, exemple plus parlant car plus large et concrètement vérifiable, les "Trente glorieuses" : c'est grâce à cette fabuleuse croissance économique engendrée par des évolutions technologiques fabuleuses que la société a évolué pour parvenir aujourd'hui à une société de (sur)consommation. Certes on pourra dire que les évolutions technologiques ne sont pas la cause mais la conséquence de cette évolution sociale. Je vais alors donner des exemple plus concrets : plein emploi, croissance industrielle de l'ordre de 5% par an tout cela en parallèle à un rattrapage technologique de la référence de l'époque (aujourd'hui encore ?) : les Etats-Unis.
Ainsi, on peut en déduire que la technologie aura toujours une longueur (de plusieurs centaines de milliers de kms) d'avance sur le progrès social. L'avancée technologique conditionne l'avancée sociale. Avancée sociale qui contribue par ailleurs au progrès technologique, mais la société aura toujours ce retard : elle est en aval de l'évolution technologique et non en amont.

2) Web 2100 et évolution darwinienne ...
Outre l'évolution technologique, il faut aussi s'interroger sur ce que sera la population de demain. Serons-nous plus intelligents, plus performants ? Les singes se seront-ils mis à Internet (vous rigolez peut-être aujourd'hui, mais je suis sûr que "Dieu" Google ou tout autre futur maître du monde se penche ou va se pencher sur le sujet ...il y a un sérieux marché à gagner ...) ?
Nous en revenons donc à la fameuse théorie de l'évolution Darwinienne : si Internet n'a pas encore disparu aujourd'hui, c'est qu'il s'adaptera au gré des avancées humains ... ou disparaitra au détriment d'un système plus performant. Ainsi, pour tous les tenants de la théorie Darwinienne, on peut affirmer qu'Internet fera parti de notre futur. Et si ce n'est pas Internet, ce sera son petit frère (ah tiens, ca ne sera pas Big Brother ? ) ... Pour les autres, ceux qui ne croient en aucune théorie, on peut se demander comment Internet pourrait disparaitre ... tout du moins sans dommage si grave qu'il causerait la disparition de l'humanité (ouah ! je me surprends à faire un discours ultra alarmiste sur la nécessité de préserver Internet ... serais-je devenu fou ? Serais-je atteint d'une internetite aigüe ?). En somme, demain, Internet sera toujours là et il aura évolué pour répondre à toujours plus d'humains ... ou alors aura réussi sa propagande pour rallier toute la pollution à son (pseudo) intérêt vital, voire humanitaire. Ou encore, autre hypothèse, qui semble d'ailleurs être la réalité actuelle (je dis ça ...), Internet ne sera apprécié que pour certains de ses aspects ... cela tournant essentiellement vers des côtés économique (se faire de l'argent) et stratégique (s'informer judicieusement ...). Et bien évidemment, il y a ceux qui sont d'ores et déjà convaincus (une majorité de la population actuelle), les "collabos" (ceux qui plongent dans Internet par simple intérêt -et, jeu de mot, pour de complexes intérêts financiers-), les rebels (les anti-technologies qui disent non sans réfléchir), et les philosophes, ceux qui, comme moi (je dis ça en toute modestie bien sûr ...), cernent les atouts mais aussi et surtout les dangers offerts par Internet. Mais demain, le risque est de voir tomber ces dits-philosophes vers un discours plus radical se ralliant alors au "oui" ferme et franc ou au "non" sec et sévère. Je ne suis pas épargné et ai conscience de ce risque, d'où le fait que j'écrive mes réflexions ...
Encore une fois, je me suis égaré telle une brebis, mais revenons à nos moutons, encore eux même si aucun d'entre nous n'en est un ... ("la ferme !" s'exclameront certains ...).
Le web 2100 est donc à concevoir en parallèle à ce que seront les Hommes de demain. Non seulement à ce qu'ils seront, mais aussi à ce qu'ils feront et/ou auront fait d'Internet. Les facteurs à prendre en compte sont donc complexes et multiples. Toutefois, on peut supposer, au regard de l'évolution actuelle même si l'on manque d'un recul certain, que la population sera consciemment ou inconsciemment, qu'elle le veuille ou non, reliée au réseau interTerrestre.

3) Le réseau interTerrestre
Demain, Internet aura au minimum évolué technologique, ou alors véritablement muté. Je suis plus partisan d'une mutation flagrante. Mutation dans le sens où Internet sera omniprésent dans nos vies. On conduira avec Internet (les GPS laisseront place aux GPI - Guidages Par Internet - plus fiables car faisant état en temps réel des embouteillages, accidents, pépés qui roulent à 42km sur nationale, etc ...), on fera à manger avec Internet (la domotechnologie comme je l'ai déjà appelé dans l'un de mes précédents posts sur le web 4.0), on rêvera avec Internet, bref on vivra Internet. Et cela qu'on le veuille ou non. Car, à moins de changer de planète, on sera obligé de se soumettre à ces évolutions (ou évolutions régressives c'est selon).
En outre, Internet est réservé aujourd'hui aux pays développés ou en cours de développement. Mais il demeure toujours le trou noir des pays en voie de développement. Présageons que ces PVD seront eux aussi reliés bientôt, si ce n'est à leur initiative (ce qui témoignerait de leur évolution technologique et de leur indépendance nouvelle), de l'initiative d'autres personnes (ce qui témoignerait malheureusement encore de leur dépendance ...).
Ainsi, Internet ne sera plus réservé au web, ni même à l'ensemble de l'évolution technologique (systèmes embarqués, domotiques, etc.), mais bel et bien à la société. D'où le nouveau d'Internet : InterTerrestre. Ce réseau ne reliera non pas un ordinateur à des milliards d'autres, mais une personne à une autre personne (et pas seulement virtuellement). Mais alors, l'homme deviendra-t-il un homme symbiotique ? Le réseau InterTerrestre sera-t-il le cybionte prédit par Joël de Rosnay ?
Cela revient alors à se poser la question existentielle suivante : l'évolution biologique de l'homme connue depuis ses débuts va-t-elle se transformer en une évolution morphotechnologique ?

4) L'Homme 2100

Le propos a largement évolué ! D'une notion de web 2100 on parvient à celle d'Homme 2100. Soit, et si l'Homme et le web avait fusionné ? Non pas simplement fusionné en vivant en parallèle l'un à l'autre, mais en vivant l'un dans l'autre ? Cela est totalement concevable, la preuve en est actuellement avec les stimulateurs cardiaques (pacemakers). En somme, on greffera de la technologie dans l'homme ... et pourquoi pas de l'homme dans la technologie. Aussi ne parlera-t-on plus d'espèce humaine mais d'Interhomme. Ainsi, inventer l'interhomme consisterait à combiner tous les atouts de la technologie (rapidité, mémoire, adaptabilité, etc.) à ceux de l'humain (intelligence et ???). Mais aussi tous les risques.
Bien évidemment, le travail est déjà en cours - excusez ce secret de polichinelle - pour coupler les atouts de l'un et de l'autre en s'épargnant ses points faibles. Mais la fusion homme-machine n'est pas pour maintenant, ni même pour 2100. Mais c'est actuellement ce vers quoi certains veulent tendre. Par intérêt bien sûr. Et pas un intérêt "humanitaire" évidemment ...

Conclusion ?
2100 : horizons brumeux, difficile de voir clair dans mon analyse qui sert de boule de cristal. Mais on peut conclure en disant que l'Homme veut tendre vers un soit-disant progrès, mais qu'il va vite se rendre compte que ce progrès le dépasse aujourd'hui encore. L'espèce humaine n'est pas prête pour une telle révolution en 2100. Laissons le temps au temps, lorsque des intelligences extra-terrestres nous contacteront, il sera temps de mettre au point notre stratégie à la "Mars Attacks" que l'on a commencé à construire en 1989 ... "Internet est né, un mur est tombé ..."

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Révolution numérique, cybercriminalité et cybtoyenneté

Posted by Ludovic Gavignet on 16:36 in , ,
La révolution numérique :
Développement du web, cybercriminalité et rôle du cybtoyen

Le développement du web, son appropriation par toujours plus d'individus, le développement de ses services engendrent une réelle révolution numérique. Les pratiques sociales et culturelles s'en trouvent bouleversées, et cela n'est pas sans compter le développement de la cybercriminalité.
Alors, comment assurer le développement du web tout en luttant contre cette cybercriminalité ? La cybercriminalité est-elle inéluctable ?

1) Le web demain : ghetto, poubelle, mémorial ou vie parallèle ?
1.1) Le web se développe, ses inconvénients aussi !
Le web se développe, offre toujours plus de services en ligne. Nul besoin de se déplacer, on peut quasiment tout faire de chez soi, même travailler. Certes les relations sociales sont indispensables (voir mon précédent billet), mais le web offre un vaste éventail de services qui nous font gagner énormément de temps : services bancaires, commandes, réservations, achats, ventes, locations, information, ... Mais n'exagérons rien, on ne pourra jamais s'affranchir de relations sociales. Tout du moins pas avant après-demain, notre processus cognitif étant encore loin d'être prêt.
Mais en parallèle à ce développement de services, s'accélère la cybercriminalité. En effet, désormais les "collets marseillais" ont laissé place à des spywares type "Layered Service Provider" ou "Keylogger". Les criminels sont en effet "amenés" (par eux-mêmes) à s'adapter à ces nouveaux réseaux, les transactions "physiques" (c'est-à-dire les retraits à des distributeurs, les achats dans les magasins par exemple) étant de moins en moins nombreuses.

1.2) Que deviendra donc le web ?
Question à laquelle un vaste éventail de réponses a déjà été apporté. Difficile de se projeter, même si je pense que le web existera toujours ... mais risque d'être mal en point si l'on persiste à s'en occuper aussi peu. Le web jonglera entre d'immenses cyberpoubelles, des cyberghettos (sous la forme de sites illégaux regroupant une communauté de cybercriminels), des virus et autres chevaux de Troie, ... et bien évidemment un web propre dont s'occuperont bien les internautes. En somme, le web de demain sera comme la société de demain.

1.3) Que faire ?
Le rôle d'organismes spécialisés dans la bonne gestion et le bonne tenue du web sera primordiale. Certes il existe déjà quelques organismes tels le W3C (World Wide Web Consortium), mais il faudra réellement développer des services spécialisés : e-police (pour arrêter les cybercriminels), e-gipn (pour traquer et stopper les cyberterroristes), e-hopitaux (pour soigner les ordinateurs infectés), ... Malheureusement, actuellement, ces services ne sont que marginaux même s'ils opèrent dans l'ombre de la toile.

1.4) Des actions à entreprendre dès maintenant
C'est dès maintenant qu'il faut agir. La cybercriminalité croît 2 à 3 fois plus vite sur le réseau que les services chargés d'assurer la sécurité de ce dernier. De plus, il est indispensable que ces services spécialisés se développent, soient de plus en plus nombreux et ne soient affectés qu'à des tâches spécifiques à l'instar de ce qu'il se fait dans la société "réelle". Le risque est réel : une main-mise de cybercriminels sur le réseau engendrant alors indéniablement sa mort ou pis encore je pense, une cyberguerre qui n'aura pas de conséquences que virtuelles ...

2) De la cybercriminalité au cyberterrorisme
2.1) Si rien n'est fait ...
Imaginons que le web continue ainsi son développement : une croissance exponentielle de terroristes vis à vis d'une croissance toujours aussi molle de services de sécurité virtuels. Ces services de sécurité seront vite débordés, et même attaqués tant ils seront peu nombreux. Leurs moyens de lutte seront réduits, ils disparaitront et laisseront les cyberterroristes s'approprier plus ou moins officiellement du web. Le mieux dans ce cas étant qu'ils revendiquent leur détention du web, les internautes sachant alors à quoi s'attendre. Mais s'ils ne le revendiquaient pas, cela en serait d'autant plus dangereux pour les internautes qui se laisseraient forcément piéger, abuser, voler, ...

2.2) Cyberterrorisme et terrorisme "réel" : des liens directs !
Vous pensez sans doute que le cyberterrorisme ne présente de danger que pour le web ? Détrompez-vous ! Cyberterrorisme et terrorisme "réel" sont en lien directs. En effet, ce sont les mêmes réseaux qui gèrent ces deux "types" de terrorisme. Ainsi, l'un alimente l'autre, l'un sécurise l'autre, ... Ainsi, si le cyberterrorisme prenait la main sur le réseau et par voie de conséquent sur l'économie mondiale, imaginez le désastre !

2.3) Propos alarmistes ?
Oui ce sont des propos alarmistes mais bien réels ! Je m'insurge de voir que si peu est accompli au niveau des politiques mondiales. Je ne comprends pas pourquoi l'on ne s'intéresse encore que si peu à cette problématique. On ne semble voir que les vertus d'Internet et ces quelques "petits" (par rapport au cyberterrorisme) dangers de désinformation, hoax, pollution, ... Mais les dangers sont pourtant là, bien réels.

3) Tous cybtoyens !
3.1) Agissons en cybtoyen
Un cybtoyen (contraction de cyber et citoyen), est un citoyen sur le réseau Internet. Il s'agit donc de droits et de devoirs à accomplir sur le réseau : agir pour l'intérêt général, respecter autrui, créer des espaces de libre expression, respecter les lois en vigueur, faire valoir ses opinions aussi diverses soient-elles, ...
Il est tout d'abord de notre rôle de cybtoyen de veiller à ce que le web demeure propre, à éloigner ces cybercriminels, à décourager les cyberterroristes. En tant que cybtoyen il nous faut faire assurer le respect des lois internationales et locales, informer nos concitoyens, assister les futurs cybtoyens, bref menez une action citoyenne sur le réseau avec toutes ses particularités !

3.2) Rôle des médias
Les médias auront un rôle primordial à jouer à savoir informer la population sur les spécificités d'Internet tout d'abord. Internet jouit de règles spécifiques, précises, que l'on n'avait pas connu avant. Il est indispensable que les médias développent toujours plus d'émissions, de reportages, d'actualités sur Internet.
Objectif : faire prendre conscience des dangers mais aussi des opportunités de ce nouveau réseau.
Finalité : Assurer la viabilité d'un net autogéré par des cybtoyens, aidés obligatoirement dans leur tâche par des organismes et institutions qui se chargeront de faire respecter la loi et les règles cybtoyennes.

3.3) Rôle de l'école
L'école constitue l'organisme clef dans la formation des futurs cybtoyens. Non, pas de cyberécole, tout au plus en complément. Oui, une école bien physique, bien réelle, avec des relations humaines "physiques". Et en son sein, des programmes clairement adaptés à la nouvelle donne numérique. Des enseignements spécifiques ainsi que des enseignements "intransdisciplinaires "seront proposés. Par "intransdisciplinaires", j'entends entre enseignements sur le réseau numérique et autres enseignements. Bien évidemment, cette rénovation des programmes se fera petit à petit. Et l'Education Nationale en a d'ailleurs bien compris les enjeux en ne cessant de développer les TICE (Technologies de l'information et de la communication pour l'Enseignement) et en évaluant de plus en plus les compétences des élèves. Néanmoins, il parait indispensable que cet enseignement ne soit pas que technique mais porte surtout sur la cybtoyenneté.

La cybercriminalité, de plus en plus présente sur le web, fait contraste avec les méthodes mises en oeuvre pour lutter contre elles. Une réelle prise en compte politique mondiale doit être effectuée. De même, il est du ressort de chacun d'entre nous d'assurer ce rêve d'un web idéal et de combattre cette cybercriminalité avec nos moyens : devenons cybtoyens ! Alors, quand les politiques comprendront réellement la nécessité d'assurer la pérennité du web en le protégeant et en mettant les moyens pour y parvenir ? Espérons pas trop tard ... hormis si l'on souhaite l'apocalypse d'Internet ...




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